© Fondation Oskar Kokoschka, Vevey

EXPOSITIONS PASSÉES

    A la Fondation
    Ailleurs
  • Oskar Kokoschka. Animaux totems

    21 juin 2023 – 29 octobre 2023

    Vernissage le 20 juin 2023, 18h30, Musée Jenisch Vevey

    L’artiste autrichien Oskar Kokoschka (1886 Pöchlarn/AT – 1980 Montreux/CH) vouait une fascination à la représentation des animaux. Mammifères, poissons, oiseaux, amphibiens, reptiles, ils sont partout. Les bêtes forment déjà un ensemble appréciable dans ses travaux de jeunesse alors qu’il imagine un monde féérique, bientôt englouti dans la grande désillusion de la Première guerre mondiale. L’exposition Animaux totems consacre une large part à ce que l’historien de l’art anglais Kenneth Clark, proche de Kokoschka, a appelé le totémisme, érigeant l’animal en symbole social, moral ou politique. Sensible au rendu du mouvement et ébloui par la souveraine concision de l’art pariétal, Kokoschka est aussi appelé par son dynamisme et sa vitalité. Et quel sujet pouvait le pousser à mener cette recherche à son plus complet aboutissement que les animaux dans toute leur diversité ?

  • Femme fatale. Blick – Macht – Gender

    9 décembre 2022 – 10 avril 2023

    Hamburger Kunsthalle


    Prêt d'une oeuvre de la Fondation Oskar Kokoschka

  • Oskar Kokoschka. Un fauve à Vienne

    23 septembre 2022  – 12 février 2023

    Paris, Musée d'art moderne

    Le Musée d’art moderne de Paris présente la première rétrospective parisienne consacrée à l’artiste autrichien Oskar Kokoschka (1886–1980). Retraçant sept décennies de création picturale, l’exposition rend compte de l'originalité dont fait preuve l’artiste et nous permet de traverser à ses côtés le XXe européen.

    Avec un prêt de plus de cinquante œuvres de la Fondation Oskar Kokoschka et la publication d'un article dans le catalogue d'exposition.

  • Kokoschka grand voyageur

    Kokoschka grand voyageur

    8 avril 2022 - 31 juillet 2022

    Vernissage jeudi 7 avril 2022 à 18h30 au Musée Jenisch Vevey

    Après la Première Guerre mondiale, Oskar Kokoschka enchaîne les déplacements à un rythme trépidant : Europe, Afrique du Nord, Moyen-Orient, Etats-Unis... Kokoschka rêve de « contes de derrière les montagnes », et trois, cinq, dix voyages par année ne suffisent pas toujours à assouvir l’insatiable soif de découvertes de celui qui se définit comme un aventurier. Jusqu’à un âge avancé, il s’adonne à son « vagabondage sans fin », cherchant aussi bien à saisir des sujets neufs que des réponses sur lui-même. Les paysages et paysages urbains sont dessinés sur le motif, parfois dans des conditions météorologiques difficiles, souvent depuis un point de vue surélevé pour leur donner une dimension panoramique. Les scènes sont représentées avec dynamisme et ne s’encombrent pas de la volonté de rendre la réalité avec vérisme. Pour Kokoschka, peindre ou dessiner un lieu est avant tout une « expérience vécue », concrète. L’exposition montre une sélection de feuilles réalisées lors des pérégrinations d’un homme qui se sentait partout chez lui, aussi bien sur les sites archéologiques d’Italie et de Grèce que dans les grandes métropoles de New York, Londres ou Berlin.

  • Oskar Kokoschka. L'appel de Dresde

    Vevey, Musée Jenisch, Espace Kokoschka
    29 mai 2021 – 5 septembre 2021
    Journée d'ouverture gratuite le 29 mai 2021

    Il y a tout juste 100 ans, Kokoschka est appelé comme professeur à l’Académie des beaux-arts de Dresde, où il se donne pour mission de renouveler l’enseignement. Son séjour dans celle que l’on surnomme la «Florence de l’Elbe» s’étend de 1916 à 1923, avec des périodes d’intermittence. Kokoschka y noue des contacts étroits dans le milieu de l’expressionnisme, et réalise de nombreux portraits. Stimulé par l’effervescence artistique du lieu, il s’essaie à différentes techniques dans un élan de grande créativité qui lui permet d’absorber les événements de la Première Guerre mondiale et de se remettre de ses blessures. «Je pouvais vraiment tout me permettre à Dresde à cette époque», confesse-t-il dans son autobiographie…

    Musée Jenisch Vevey

  • Salles permanentes au Musée Jenisch

    Périodes d'ouverture selon site du Musée Jenisch www.museejenisch.ch
    Vevey, Musée Jenisch, Espace Kokoschka

    Le Musée Jenisch consacre plusieurs salles permanentes à Oskar Kokoschka. Une salle biographique donne un aperçu de la vie aventureuse de l’artiste, tandis qu’un cabinet de curiosités restitue le cadre dans lequel il a travaillé à Villeneuve, en Suisse, où il s’est installé dès 1953. Matériel de peinture, de dessin et de lithographie, objets de la collection personnelle de l’artiste, ouvrages issus de sa bibliothèque jouxtent ainsi sa grande tapisserie Amour et Psyché. Des pièces maîtresses de la collection de peinture, particulièrement représentatives de l’œuvre de l’artiste, sont par ailleurs régulièrement exposées quand il n'y a pas d'exposition temporaire.

    Musée Jenisch Vevey

  • A fleur de peau. Vienne 1900, de Klimt à Schiele et Kokoschka

    14 février 2020 – 23 août 2020 (réouverture le 2 juin 2020)
    PRÊT DE 5 ŒUVRES / Lausanne, Musée cantonal des beaux-arts (MCBA)

    Le MCBA propose de renouveler le regard porté sur la contribution des artistes viennois à la naissance de l’art moderne. L’exposition A fleur de peau présente plus de 150 peintures, dessins, sculptures et objets d’arts appliqués créés à l’aube du XXe siècle. Dépassant l’opposition classique entre les générations de Klimt, Schiele et Kokoschka, entre le symbolisme et l’expressionnisme, cette manifestation retrace l’émergence d’une sensibilité nouvelle, exprimée par un travail plastique se focalisant sur la peau, point de contact entre l’homme et le monde, entre l’objet et son environnement, entre le bâtiment et la rue.

  • Traum und Mythos. Orpheus in der modernen Kunst

    Bonn, August-Macke-Haus
    11 octobre 2019 – 16 février 2020

    Le Musée August Macke, sis dans sa maison, célèbre Orphée avec une exposition montée à l’occasion du 250ᵉ anniversaire de la naissance de Ludwig van Beethoven, qui a passé ses jeunes années à Bonn comme August Macke. Elle déploie les différentes formes de traductions artistiques du mythe dans une succession d’interprétations réalisées à travers le monde depuis le XIXᵉ siècle jusqu’à aujourd’hui. L’exposition présente un éventail de ces réalisations, densifications allégoriques peintes et sculptées, suites graphiques, projets scéniques et travaux artisanaux.

  • Das Comeback. Bauhaus Meister Moderne

    29 septembre 2019 – 12 janvier 2020 [prêt prolongé jusqu'au 31 janvier 2021]
    PRÊT D'UNE PEINTURE / Halle, Kunstmuseum Moritzburg

    Cette exposition temporaire d’envergure, une reconstruction de la première collection d’art moderne du musée, a réuni des chefs d’œuvre prestigieux issus de collections dispersées à travers le monde, en partie rarement ou jamais montrés. En tant qu’exposition d’art majeure dans le Land de Saxe-Anhalt, elle a consituté avec le nouveau musée du Bauhaus à Dessau l’une des pierres angulaires des célébrations liées aux 100 ans du Bauhaus dans cette région.

  • Oskar Kokoschka: expressionniste, migrant, Européen – Une rétrospective

    Vienne, Leopold Museum
    6 avril 2019 – 8 juillet 2019

    Le Musée Leopold consacre à l’«artiste d’exception» Oskar Kokoschka une rétrospective de grande envergure. Ce sont pas moins de 260 œuvres significatives issues de grandes collections publiques à travers le monde, mais aussi plus confidentielles provenant de collections privées, qui éclairent les nombreuses périodes d’un artiste passé par Vienne, Dresde, Prague, Londres ou encore Villeneuve. Kokoschka, dont la vie recoupe les grands événements historiques du XXe siècle, y est présenté comme un innovateur radical aussi bien qu’un «talent multiple» – peintre, dessinateur, graveur, homme de lettres, homme de théâtre et humaniste, Européen convaincu et sans conteste «homo politicus» ambivalent. De multiples documents illustrent ses rapports mouvementés avec sa «patrie» autrichienne, avec laquelle il a plusieurs fois pris ses distances. L’accent est également mis sur son image changeante de la femme, de la mère à la dispensatrice de paix, en passant par la lutte des sexes, ainsi que sur son engagement durable pour l’art figuratif, qui a marqué une génération d’artistes.

    L’exposition, qui repose aussi sur les riches fonds du Musée lui-même, a été coproduite avec le Kunsthaus de Zurich et est réalisée en étroite collaboration avec la Fondation Oskar Kokoschka à Vevey et le Centre Oskar Kokoschka à Vienne.

  • Oskar Kokoschka. Une Arcadie rêvée

    Vevey, Musée Jenisch, Espace Kokoschka
    5 avril 2019 – 11 août 2019

    «L’ancienne Hellas est pour nous tous une image idéale, comme le jardin d’Eden. Pourquoi? Peut-être parce que c’est là que l’homme a le mieux réalisé l’humain», Oskar Kokoschka dans son autobiographieMa Vie

    Les heures que célèbre cette année la Fête des vignerons à Vevey sont aussi celles que chantait l’expressionniste autrichien Oskar Kokoschka. Ses pastorales glorifient une nature magnifiée, où bergers et troupeaux voisinent en harmonie. Dans cette Cocagne, les bêtes paissent sereinement, l’herbe est d’un vert riant et les fruits sont gorgés de soleil. Pan et Dionysos veillent en divinités prodigues sur ces temps intouchés. Véritable Arcadie rêvée, ces dessins et ces lithographies expriment l’aspiration de paix et d’idéal social d’un artiste profondément engagé qui érige l’Antiquité en âge d’or politique et moral.

  • Kokoschka – Dürrenmatt. Le mythe comme parabole

    Neuchâtel, Centre Dürrenmatt
    16 décembre 2018 – 31 mars 2019

    Après avoir rencontré Oskar Kokoschka en 1960, Friedrich Dürrenmatt lui dédie un poème dans lequel il défend un art centré sur la figure humaine et fait l'éloge de son tableauLes Thermopyles(1954). Kokoschka se sert de cette bataille antique entre Grecs et Perses comme d'une parabole pour appeler à l'union des forces en Europe de l'Ouest en plein contexte de guerre froide. L'exposition présente des dessins préparatoires de cette peinture monumentale. Kokoschka s'appropriera d'autres mythes antiques à des fins artistiques et politiques, tout comme Dürrenmatt, pour qui les dieux et héros grecs étaient une source d'inspiration sans fin, dans sa littérature comme dans sa peinture.

    A travers une centaine d'œuvres d'Oskar Kokoschka (1886–1980) et de Friedrich Dürrenmatt (1921–1990), l'exposition éclaire la manière dont les deux artistes se sont réapproprié des mythes antiques pour parler de leur propre époque. Par de nombreux objets et documents, elle montre également comment la bataille des Thermopyles continue à fasciner jusqu'à aujourd'hui, que ce soit dans les arts, l'idéologie politique ou la culture populaire.

  • Oskar Kokoschka: Eine Retrospektive

    Zürich, Kunsthaus
    14 décembre 2018 – 10 mars 2019

    L’exposition, coproduite avec le Leopold Museum à Vienne, est conçue comme une rétrospective et entend prendre en compte, à travers quelque 250 œuvres et documents, toutes les périodes de création de l’artiste. Avec des prêts d’institutions internationales les plus renommées, elle va présenter toutes les techniques utilisées par celui-ci comme la peinture à l’huile, le pastel, le dessin, l’aquarelle, la gravure, ainsi que ses pièces de théâtre, décors et costumes. Le Kunsthaus Zürich a joué tôt un rôle important dans la carrière de Kokoschka. Avec une dizaine de peintures à l’huile, dont des chefs-d’œuvre comme Couple d’amoureux au chat (1917), le fonds de la collection est donc bien fourni. Pendant les 27 dernières années de sa vie, l’artiste a vécu en Suisse, ce qui explique que des pans importants de sa succession se trouvent aussi à Vevey et à Zurich et non seulement à Vienne. L’exposition est le fruit d’échanges étroits avec la Fondation Oskar Kokoschka à Vevey et le Centre de recherche Oskar Kokoschka à Vienne. En Suisse, la dernière rétrospective Kokoschka a eu lieu en 1986 au Kunsthaus Zürich.

  • En selle! Kokoschka et les équidés

    Vevey, Musée Jenisch, Espace Kokoschka
    21 juin 2018 – 7 octobre 2018

    Si Kokoschka a représenté beaucoup d’animaux différents dans son œuvre, les équidés, et en particulier le cheval, semblent avoir exercé sur lui une réelle fascination. Chevaux, ânes, centaures, amazones, licornes et pégases, les œuvres de l’artiste autrichien sont peuplées de tout un bestiaire équin. Tour à tour représentés montés de cavaliers agiles, dans des scènes de bataille ou des ambiances rurales, tournoyant sur la piste des cirques ou encore comme de puissantes figures associées aux héros antiques, ils offrent un capital expressif inépuisable. Emblème des expressionnistes qui se sont formés autour du groupe «Der blaue Reiter» fondé à Munich en 1911, le cheval incarne chez Kokoschka avant tout la vivacité et le mouvement, qui sont aussi les valeurs maîtresses qu’il défend pour son art.

  • Ernst Ludwig Kirchner et Oskar Kokoschka

    Davos, Kirchner Museum
    19 novembre 2017 – 22 avril 2018

    La Fondation Oskar Kokoschka est partenaire du Kirchner Museum dans cette grande exposition consacrée à deux figures majeures de l’expressionisme en Allemagne et en Autriche, Ernst Ludwig Kirchner (1880–1938) et Oskar Kokoschka (1886–1980). S’échelonnant de 1905 à la fin des années 1930, elle révèle les parallèles qui ont jalonné les parcours de l’un et de l’autre, en particulier dans leurs débuts, et met leurs travaux en dialogue. Chaque artiste est représenté par une centaine de peintures, dessins et gravures.

  • Oskar Kokoschka, l’œuvre peint

    Vevey, Musée Jenisch, Espace Kokoschka
    31 mars 2017 – 1er octobre 2017 et 27 octobre 2017 – 4 février 2018

    A l’occasion du lancement du catalogue raisonné en ligne des peintures d’Oskar Kokoschka, cette exposition fait la part belle aux chefs d’œuvre picturaux de la collection de la Fondation, s’échelonnant de 1906 à 1973 et couvrant l’ensemble de ses périodes artistiques.

    Lorsque Kokoschka entame sa formation à Vienne, la ville est l’un des endroits en Europe où la frontière entre beaux-arts et arts appliqués est particulièrement poreuse, ouvrant la voie à de nouvelles expérimentations. Kokoschka y fréquente alors une classe de peinture à l'Ecole des arts appliqués et est rapidement remarqué par Adolf Loos, qui lui reconnaît un talent expressif dès sa première exposition à la Kunstschau de Vienne en 1908, événement clé pour le mouvement moderne dans cette ville. A l’instar d’autres expressionnistes de son temps, Kokoschka laisse évoluer librement ses modèles pour capter leurs mouvements. Cette recherche du mouvement s’exprime aussi dans les paysages et paysages urbains, qu’il représente avec beaucoup de dynamisme dans la profondeur de la plongée.

    Après avoir été stigmatisé comme artiste dégénéré à l’exposition de Munich en 1937, Kokoschka donne un caractère plus politique à certaines de ses œuvres. Il continue toute sa vie à faire de la peinture parallèlement aux lithographies, aquarelles et dessins.

  • Dessins de jeunes filles d’Oskar Kokoschka (1908 – 1932)

    Vevey, Musée Jenisch
    14 juin 2016 – 31 janvier 2017

    La Fondation Oskar Kokoschka conserve de nombreux dessins illustrant l’intérêt marqué du peintre, tout au long de sa vie, pour la représentation de jeunes filles. Dans ses récits consacrés à l’enseignement de Kokoschka à l’Académie des Beaux-Arts de Dresde (1919–1923), son élève Friedrich Karl Gotsch fait état de la prédilection de son maître pour des jeunes modèles : «On distribuait à ces jeunes êtres des foulards multicolores dans lesquels elles s’enveloppaient pour des séances de mascarade. On souhaitait qu’elles soient perpétuellement en mouvement, sans être trop frétillantes. L’objectif était d’apprendre à saisir l’essentiel.» Dans l’aquarelle Jeune fille au pagne vert de 1921, Kokoschka représente précisément le foulard dont chaque modèle s’est drapé selon l’anecdote de Gotsch. En plus des dessins appartenant à la Fondation Oskar Kokoschka, l’exposition au Musée Jenisch est complétée par la présentation de précieux dessins provenant d’une collection privée suisse dont la Jeune fille dansant à la jupe soulevée de 1908.

  • Le voyage de Kokoschka en Afrique du Nord. Un Orient fantasmé

    Vevey, Musée Jenisch
    23 février 2016 – 29 mai 2016

    Parmi la collection de la Fondation Oskar Kokoschka figurent deux toiles peintes par l’artiste en Algérie et en Egypte: Le Marabout de Témacine (1928) et Les femmes arabes (1929). Malgré son contact direct avec les habitants, Kokoschka décrit dans ses récits de voyage un Orient davantage fantasmé que réaliste. Il imagine le personnage du Marabout comme un descendant d’Aïscha, « la dernière épouse de Mohammed, […] qui avait essayé avec ses fils d’imposer l’indépendance du peuple berbère dans un combat héroïque ». Pour peindre les portraits des femmes arabes, Kokoschka se sert de cartes postales, actuellement conservées dans son fonds manuscrit de la Zentralbibliothek de Zurich. En février 1965, l’artiste séjourne un mois au Maroc où il assiste à des spectacles de Fantasia, un terme désignant l’art équestre maghrébin qui est, depuis Delacroix, l’un des sujets de prédilection des peintres orientalistes. L’artiste profite de son voyage pour réaliser un portfolio de dix-huit lithographies, intitulé Marrakech. L’exposition au Musée Jenisch montre les dessins préparatoires de cette série représentant des marchés de chameaux, des architectures orientales et les jeux équestres susmentionnés.

  • Oskar Kokoschka et Alma Mahler – une liaison amoureuse dramatique

    Vevey, Musée Jenisch
    20 octobre 2015 – 7 février 2016

    Le 12 avril 1912, Kokoschka fait la connaissance d’Alma Mahler à Vienne. Elle vient de perdre son mari, le compositeur Gustav Mahler. Cette rencontre marque le début d’une relation amoureuse tumultueuse, qui durera à peine trois ans. L’exposition présente une multitude de dessins et de lithographies, où Kokoschka évoque souvent sous forme allégorique les aléas de leur relation. Citons notamment les illustrations du récit de Karl Kraus La muraille de Chine (1914), ainsi que les douze lithographies à la craie réalisées en 1913 pour le conte de Kokoschka, Colomb enchaîné ; la Cantate de Bach, parue en 1914, et les illustrations de son poème Allos Makar (1914). Le titre de ce poème est une anagramme des prénoms Alma et Oskar. Dans Orphée et Eurydice, un drame qu’il écrit en 1916–1917 et dont la première a lieu en 1921 à Francfort, il s’inspire de l’échec de leur relation. Alma y apparaît sous les traits d’Eurydice; quant à Kokoschka, il s’identifie lui-même à l’aède mythique, qui descend aux enfers pour arracher sa bien-aimée à l’emprise d’Hadès.

    Pour se consoler de la perte de son grand amour, Kokoschka commande en juillet 1918 à la marionnettiste munichoise Hermine Moos une poupée à l’effigie d’Alma, grandeur nature. Même si le résultat déçoit profondément l’artiste, il n’en réalise pas moins plusieurs peintures et dessins en s’inspirant de ce modèle.

  • Die träumenden Knaben (Les garçons qui rêvent)

    Vevey, Musée Jenisch
    26 mai 2015 – 4 octobre 2015

    En octobre 1907, Kokoschka réalise sa première œuvre poétique Die träumenden Knaben (Les garçons qui rêvent), considérée comme un ouvrage phare dans la gravure livresque de style sécession, mais aussi comme l’un des fleurons de la poésie de l’expressionnisme naissant. Sur la première page du livre, figure en bonne place une dédicace à Klimt, auquel Kokoschka doit les débuts de sa carrière artistique. Le poème se compose d’une succession d’images oniriques et féériques sans relation aucune, que Kokoschka transpose dans huit lithographies couleur entre novembre 1907 et janvier 1908. Les quelque deux cent lignes de poésie sont gravées sans ponctuation, en lettres minuscules ininterrompues sur le côté droit des lithographies. Les vers sont illustrés par des êtres humains, des plantes anthropomorphes, des oiseaux exotiques, des mers et des îles, des prairies et des bateaux dans des teintes lumineuses. Les contours anguleux des personnages témoignent déjà d’une certaine distanciation par rapport au Jugendstil viennois, pour annoncer le début de l’expressionnisme. Censé devenir un recueil de contes pour enfants, cet ouvrage dû à une commande de Fritz Waerndorfer, directeur des Wiener Werkstätte (Ateliers viennois), apparaît comme un «livre d’images de la puberté» de Kokoschka, selon les termes mêmes du poète Albert Ehrenstein. Le poème évoque à la première personne l’éveil sexuel d’un jeune garçon pubère, dont les tentatives hésitantes et angoissées pour se rapprocher de l’autre sexe se défoulent dans des rêves et des métaphores.

  • Hommage à Olda Kokoschka

    Vevey, Musée Jenisch
    17 février 2015 – 17 mai 2015

    Pour commémorer le centenaire de la naissance d’Olda Kokoschka, la Fondation Oskar Kokoschka organise une exposition en l’honneur de celle qui est à l’origine de cette institution. Oldriska Aloisie, appelée Olda de son vivant, voit le jour à Prague le 3 février 1915. En automne 1934, elle rencontre chez ses parents l’artiste Oskar Kokoschka, qui a presque trente ans de plus qu’elle. En mars 1938, Olda termine ses études de droit couronnées par un doctorat à l’université Charles de Prague. Quelques mois avant l’«anéantissement de ce qui restait de la Tchécoslovaquie», elle parvient à obtenir deux billets d’avion pour Londres, et le 17 octobre 1938, elle part s’exiler en Angleterre avec Kokoschka pour échapper aux nazis. Le 15 mai 1941, à l’époque où la Grande-Bretagne est bombardée par la Luftwaffe, ils se marient tous deux dans un abri anti-aérien, faisant temporairement office de mairie. En 1953, le couple s’installe à Villeneuve sur les bords du lac Léman. Huit ans après le décès de son mari en 1988, Olda crée la «Fondation à la mémoire d’Oskar Kokoschka», dont le siège se situera, à sa demande, dans la ville de Vevey, à quelques kilomètres de son domicile. Elle dote la Fondation de tous les tableaux dont elle dispose, et ne cessera d’enrichir la collection par de nouvelles acquisitions et donations jusqu’à sa mort. Elle s’éteint le 22 juin 2004 à Montreux. A l’occasion de cette exposition, la Fondation présente le Doppelbildnis von Olda und Oskar Kokoschka, un portrait du couple peint par l’artiste en 1963, qui se trouve au Museum der Moderne Rupertinum à Salzburg, selon les volontés de la fondatrice. Cette exposition se voit complétée par une série de neuf dessins au crayon de couleur de l’époque pragoise (1934–1938), et par quelques aquarelles tardives, où Kokoschka a pris Olda pour sujet.

  • Oskar Kokoschka, 1915–1917 : du peintre de guerre au pacifiste

    Vevey, Musée Jenisch
    6 novembre 2014 – 1er février 2015

    A l’occasion du centième anniversaire du déclenchement de la Première Guerre mondiale (1914), la Fondation Oskar Kokoschka documente, à la lumière d’une sélection d’œuvres, l’évolution vécue par Kokoschka entre 1915 et 1917 sous l’influence de ses expériences au front. Le 28 juillet 1914, l’Autriche-Hongrie déclare la guerre au royaume de Serbie. A l’époque, Kokoschka a vingt-huit ans. Il est donc mobilisable et s’attend tous les jours à recevoir sa feuille de route. C’est grâce aux bonnes relations qu’entretient son ami et mentor Adolf Loos avec le commandement suprême des armées, qu’il doit son admission dans le régiment de cavalerie le plus prestigieux de la double-monarchie: le 15ème régiment de dragons impérial et royal Archiduc Josef. Le 29 août 1915, Kokoschka est gravement blessé à Vladimir-Volynski en Ukraine. Le 29 mars 1916, il postule comme peintre de guerre au Quartier de presse de guerre. Après l’entrée de l’Italie dans le conflit en mai 1915, l’armée impériale et royale livre bataille dans la vallée d’Isonzo, dans l’actuelle Slovénie, où Kokoschka est envoyé à la mi-juillet 1916. Jusqu’à la fin d’août, il dessine essentiellement à la craie noire une trentaine de feuilles représentant des mouvements de troupes, des positions d’artillerie et des villages détruits. Après avoir été blessé une seconde fois, il rallie la cause des Pacifistes et travaille à partir de 1917 à un portefeuille anti-guerre, que l’on peut interpréter comme une variante moderne des Grandes Misères de la guerre de Jacques Callot (1633) et des Desastres de la guerra de Goya (1810–1814).

  • Oskar Kokoschka dans l’objectif du photographe Erling Mandelmann

    Vevey, Musée Jenisch
    13 septembre 2014 – 1er novembre 2014

    Dans le cadre du festival de photographie «Images», qui se déroule tous les deux ans à Vevey, la Fondation Oskar Kokoschka organise une exposition de photos de l’artiste avec le photographe Erling Mandelmann, né à Copenhague en 1935. Mandelmann, qui se rendra fréquemment chez Kokoschka durant des décennies, fait partie des photographes préférés de l’artiste, à en juger par la profusion des photos où apparaît Kokoschka, ainsi que par une lettre de recommandation de l’artiste adressée au peintre, critique d’art et écrivain suisse Walter Kern en 1963. Dans cette lettre, il prie Kern de bien vouloir faire paraître des photographies de Mandelmann dans la revue mensuelle suisse Das Werk: «Erling Mandelmann est un jeune photographe danois, sur lequel j’aimerais attirer votre bienveillante attention; il serait très gratifiant de pouvoir le recommander au ‹Werk› en joignant quelques exemples de son travail, témoins d’une technique sans faille au service d’une très vive imagination.»

  • Dessins de Kokoschka provenant de collections privées suisses

    Vevey, Musée Jenisch
    7 juillet 2014 – 7 septembre 2014

    Après s’être établi en Suisse en 1953, Kokoschka rencontre des amis, des mécènes et des acheteurs, qui vont collectionner ses œuvres au fil des années. L’exposition présente des dessins de très grande qualité provenant de collections privées suisses – dont des pièces des années 1920 et 1930 –, qui n’ont encore jamais été montrés au public.

  • «Hommage à l’Hellade»: Vues du voyage de Kokoschka en Grèce en 1961

    Vevey, Musée Jenisch
    31 mars 2014 – 29 juin 2014

    Entre le 1er octobre et le 24 novembre 1961, Oskar Kokoschka entreprend un voyage en Grèce, qui le conduira successivement à Athènes, Delphes, Olympie et Sparte, ainsi qu’au Cap Sounion et à Egine. Après les nombreux dessins réalisés au cours de ce périple, vingt-six lithographies à la craie, accompagnées de textes de poètes anciens seront imprimées chez Hans Christians à Hambourg en 1964. Elles représentent des vues de temples à Athènes, Delphes, Egine et Olympie, ainsi que des sculptures et des reliefs funéraires provenant du Musée national d’archéologie et du Musée de l’Acropole à Athènes. Dans son autobiographie parue en 1971, Kokoschka écrit rétrospectivement: «L’Hellade est pour nous tous une image idéale, comme le jardin d’Eden. Pourquoi? Peut-être parce que c’est là que l’être humain a le mieux concrétisé l’humanité.»
    Dans la même salle, le photographe Volker Hagendorf présente des photos de Kokoschka, prises en 1964 au cours du vernissage de l’exposition des lithographies mentionnées ci-dessus à la galerie Tangente à Fribourg-en-Brisgau.

  • Natures mortes d’Oskar Kokoschka – Aquarelles et dessins

    Vevey, Musée Jenisch
    1er décembre 2013 – 23 mars 2014

    L’exposition montre un choix des plus belles natures mortes de la Fondation Oskar Kokoschka. Faute de modèles Kokoschka se mit à peindre lors de son exil à Londres (1938–1945), où il avait pu échapper aux Nazis, des aquarelles de fleurs. Pendant toute la période de la Deuxième Guerre mondiale il entreprit des nombreux voyages en Ecosse et au Pays du Galles muni d’une trousse remplie de crayons de couleur et de carnets d’esquisses. Au bord de la mer il dessina des poissons morts et dans les champs des fruits et le butin de chasseurs.
    Le public peut découvrir pour la première fois le tableau Fleurs dans un vase de 1959 que la Fondation Oskar Kokoschka vient d’acquérir.

  • 25 ans de la Fondation Oskar Kokoschka – Chefs-d’œuvre de la Fondation Oskar Kokoschka

    Vevey, Musée Jenisch
    6 juin 2013 – 1er décembre 2013

    En 2013, la Fondation Oskar Kokoschka fête son 25e anniversaire avec une exposition qui présente les plus beaux tableaux de ses collections. Le choix déploie une rétrospective de toutes les phases artistiques du peintre, depuis ses débuts comme étudiant à l'Ecole des arts appliqués de Vienne en 1904 jusqu'aux dernières années de sa vie.

  • Oskar Kokoschka rend visite à Rolf Gérard – Des retrouvailles posthumes de deux artistes

    Ascona, Fondazione Rolf Gérard
    4 mai 2013 – 29 septembre 2013

    Les artistes Rolf Gérard et Oskar Kokoschka se sont rencontrés pour la première fois il y a septante ans à Londres. Comme Kokoschka avait, à cette époque, déjà 57 ans et une renommée d’artiste internationale, son rapport à Gérard, qui était de vingt-trois ans son cadet, ressemblait sans doute à celui existant entre un maître vénéré et un élève avide de connaissances.

  • La «Cantate de Bach» de Kokoschka en images et en musique

    Vevey, Musée Jenisch
    1er mars 2013 – 31 mai 2013

    Cette année la Fondation Oskar Kokoschka fête son 25e anniversaire avec la cantate de Bach préférée de Kokoschka, O Ewigkeit, du Donnerwort (O Éternité, parole foudroyante!), que le visiteur peut découvrir sous forme de musique et d’images. Leo Kestenberg, élève de Busoni, avait joué et expliqué la cantate à l’artiste, ce que lui inspira une série d’estampes intitulée O Ewigkeit – Du Donnerwort, Cantate de Bach.

  • Le regard d’Oskar Kokoschka sur l’Antiquité

    Vevey, Musée Jenisch
    3 novembre 2012 – 2 février 2013

    Tout au long de sa vie, la création artistique et littéraire de Kokoschka témoigne d’une prise en compte intense de l’Antiquité. Sa première pièce de théâtre Assassins, espoir des femmes (1909) empreinte des motifs à L’Orestie d’Eschyle et au drame Penthésilée de Kleist.

  • Chef-d’œuvre de la Fondation Oskar Kokoschka

    Vevey, Musée Jenisch
    23 juin 2012 – 28 octobre 2012

    Pour inaugurer la nouvelle Salle Kokoschka au Musée Jenisch Vevey, la Fondation Oskar Kokoschka montre les plus belles œuvres de sa collection.

  • Oskar Kokoschka – Wunderkammer / Cabinet de curiosités

    Appenzell, Museum Liner
    11 juillet 2010 – 9 janvier 2011
    La Chaux-de-Fonds, Musée des beaux-arts
    14 mai 2011 – 4 septembre 2011

    Tout au long de sa vie, Kokoschka fut un collectionneur passionné. Environ trois cents objets conservés à la Fondation Oskar Kokoschka en témoignent. L’exposition a présenté pour la première fois un choix d’objets de la collection provenant de la villa de Kokoschka à Villeneuve. Une comparaison de chacune des pièces de sa collection avec sa propre production a montré que de nombreux objets lui avaient servi d’études. On les retrouve dans des peintures à l’huile, des aquarelles, des dessins et des lithographies.

  • «Spur im Treibsand» – Oskar Kokoschka neu gesehen. Briefe und Bilder

    Zurich, Zentralbibliothek
    14 avril 2010 – 2 octobre 2010

    L‘exposition a montré des dédicaces inédites, des dessins et des photographies du fonds manuscrit de l’artiste, conservé à la Zentralbibliothek de Zurich, qui ont été complétés et éclaircis par un choix d’œuvres d’art de la Fondation Oskar Kokoschka.

  • «I love Jenisch» - Voyage au cœur des collections

    Vevey, Musée Jenisch
    22 février 2008 – 17 août 2008

    Sous la devise «I love Jenisch», l’exposition a montré dans une salle du Musée Jenisch cinq tableaux et des œuvres d’art graphique de la Fondation Oskar Kokoschka.

  • Kokoschka et la musique

    Vevey, Musée Jenisch
    7 juillet 2007 – 15 septembre 2007

    L’exposition a montré un choix de soixante œuvres illustrant la relation intime de Kokoschka avec la musique et les musiciens les plus célèbres du 20e siècle. Parmi les amis du peintre figurent les compositeurs Anton von Webern et Alban Berg, le chef d’orchestre Wilhelm Furtwängler, les pianistes Sviatoslav Richter, Rudolf Serkin, le violoniste Yehudi Menuhin. L’exposition a aussi montré des photographies de décors et costumes réalisés pour la mise en scène de La Flûte enchantée à Salzbourg en 1955, des partitions de compositeurs dont une de Paul Hindemith qui fut le premier à transposer en opéra une pièce de théâtre de Kokoschka.

  • Œuvres d’art graphique de jeunesse de Kokoschka, 1906 – 1923

    Vevey, Musée Jenisch
    13 novembre 2006 – 17 janvier 2007

    L’exposition a réuni les plus importantes œuvres d’art graphique de l’artiste de la période de 1906 à 1923, comme les cartes postales dessinées pour la Wiener Werkstätte (Atelier viennois), les lithographies en couleurs pour son premier poème Die träumenden Knaben (Les Garçons qui rêvent), les illustrations du récit Die chinesische Mauer (La Muraille de Chine) de Karl Kraus et de son propre conte Der gefesselte Kolumbus (Colomb enchaîné) et la Cantate de Bach.

  • Tableaux et œuvres d’art graphique des collections de la Fondation Oskar Kokoschka

    Vevey, Musée Jenisch
    1 juillet 2006 – 12 septembre 2006

    Dans cinq salles du Musée Jenisch, la Fondation Oskar Kokoschka a montré des tableaux, des pastels, des aquarelles, des dessins et des lithographies de Kokoschka.

  • Oskar Kokoschka. «Erlebnis des Augen-Blicks». Aquarelle und Zeichnungen

    Hambourg, Bucerius Kunst Forum
    26 novembre 2005 – 5 février 2006

    Sous la direction du spécialiste de Kokoschka Heinz Spielmann, le Bucerius Kunst Forum de Hambourg a monté une rétrospective d’aquarelles et de dessins de Kokoschka produits dans une période de sept décennies. La majeure partie des œuvres exposées appartenait à la Fondation Oskar Kokoschka. D’autres prêts provenaient de collections particulières, de l’Albertina à Vienne, du Museum für Kunst und Gewerbe de Hambourg et du Leopold Museum de Vienne.

  • Kokoschka. Beziehungen zur Schweiz

    Pfäffikon, Seedamm Kulturzentrum
    13 novembre 2005 – 5 février 2006

    L’exposition a thématisé les premiers voyages de Kokoschka en Suisse, les grandes rétrospectives de son œuvre à Bâle, à Berne et surtout au Kunsthaus de Zurich, ses contacts avec des collectionneurs, directeurs de musées, mécènes et marchands d’art suisses, ses peintures de paysages suisses et son emménagement définitif au bord du lac Léman, où il a passé la majeure partie de son temps de 1953 jusqu’à sa disparition en 1980.

  • Tableaux et œuvres d’art graphique des collections de la Fondation Oskar Kokoschka

    Vevey, Musée Jenisch
    1 juillet 2005 – 28 septembre 2005

    L’exposition a montré un choix d’œuvres de la Fondation Oskar Kokoschka. Le clou était une nouvelle acquisition, le tableau de la Crucifixion de 1911.

  • Hommage à Olda Kokoschka

    Vevey, Musée Jenisch
    2 juillet 2004 – 18 septembre 2004

    En l’honneur d’Olda Kokoschka, décédée le 22 juin 2004, le Musée Jenisch a montré dans deux salles une exposition commémorative avec des œuvres de la Fondation qu’elle a créée en 1988.

  • Alles OK – Oskar Kokoschka, ‹Schule des Sehens›, 1906 – 1976

    Apolda, Kunsthaus Apolda Avantgarde
    7 juin 2003 – 7 septembre 2003

    A l’aide d’un choix d’œuvres de la Fondation Oskar Kokoschka, l’exposition visait à offrir aux visiteurs un aperçu de toutes les phases artistiques de l’artiste entre 1906 et 1976.

  • Kokoschka nomade

    Vevey, Musée Jenisch
    13 avril 2002 – 8 septembre 2002

    Kokoschka se désignait lui-même comme un cosmopolite et un vagabond. Il a passé sa vie à voyager aux quatre coins du monde et il a séjourné dans plusieurs capitales comme Berlin, Paris, Prague et Londres. Entre 1924 et 1930, il a voyagé à travers l’Europe, l’Asie Mineure et l’Afrique du Nord. L’exposition a réuni des tableaux, dessins et lithographies de villes et paysages parcourus par Kokoschka.

  • Œuvres de la Fondation Oskar Kokoschka

    Emden, Kunsthalle
    20 octobre 2001 – 20 janvier 2002

    La Fondation Oskar Kokoschka avait prêté à la Kunsthalle Emden environ 150 œuvres de toutes les phases artistiques d’Oskar Kokoschka.

  • Oskar Kokoschka - von Pöchlarn in die Welt

    Pöchlarn, Oskar-Kokoschka-Dokumentation
    2000

    En 1973, l’Association pour l’étude et la documentation de l’œuvre d’Oskar Kokoschka a été fondée dans la maison natale de l’artiste à Pöchlarn. En étroite collaboration avec cette association, la Fondation Oskar Kokoschka a réalisé cette exposition à Pöchlarn.

  • Oskar Kokoschka. Peintures et œuvres sur papier. Vienne 1906 – Paris 1931

    Paris, Musée-Galerie de la Seita
    29 décembre 1998 – 7 mars 1999

    L’exposition a réuni nonante-six œuvres provenant des collections de la Fondation Oskar Kokoschka et de la collection de Serge et Vally Sabarsky à New York.

  • Oskar Kokoschka. L’œuvre gravé (1906 – 1923)

    Namur, Musée Félicien Rops
    19 juin 1998 – 23 août 1998

    L’exposition a présenté un choix d’art graphique des collections de la Fondation Oskar Kokoschka.

  • Oskar Kokoschka

    Bruxelles, Hôtel de Ville
    16 juin 1998 – 30 septembre 1998

    L’exposition a été organisée par la Fondation Oskar Kokoschka.

  • Œuvres graphiques d’Oskar Kokoschka des années 1906 à 1923

    Vevey, Musée Jenisch
    7 février 1997 – 20 avril 1997

    L’exposition a réuni dans plusieurs salles des aquarelles, des dessins et des lithographies de Kokoschka.

  • Werke der Oskar Kokoschka-Stiftung im Museum Jenisch, Vevey

    Salzbourg, Rupertinum
    20 juillet 1996 – 13 octobre 1996

  • Oskar Kokoschka – Viaggi e figure

    Bellinzone, Museo Villa dei Cedri
    30. März 1995 – 2. Juli 1995

    Die Ausstellung zeigte Gemälde, Zeichnungen und Lithographien von Städten und Landschaften, die Kokoschka im Laufe seines Lebens bereiste.

  • Collection de la Fondation Oskar Kokoschka

    Vevey, Musée Jenisch
    5 juin 1994 – 16 octobre 1994

    Dans plusieurs salles du Musée, l’exposition a montré les plus belles pièces de la Fondation Oskar Kokoschka.

  • Peintures et aquarelles de Kokoschka dans la collection de la Fondation Oskar Kokoschka

    Vevey, Musée Jenisch
    15 août 1993 – 30 octobre 1993

    Dans cinq salles du Musée Jenisch, la Fondation Oskar Kokoschka a présenté des tableaux à l’huile et des aquarelles.

  • Oskar Kokoschka – Buntes Tagebuch

    Pöchlarn, Oskar-Kokoschka-Dokumentation
    1993

    L’exposition a été élaborée en collaboration avec la Fondation Oskar Kokoschka.

  • Oskar Kokoschka - Lebensspuren

    Kloster Cismar, Schleswig-Holsteinisches Landesmuseum
    28. Juni 1992 – 25. Oktober 1992
    Mayence, Landesmuseum
    15 novembre 1992 – 17 janvier 1993

    L’exposition a présenté un choix de tableaux, d’aquarelles et de dessins de la Fondation Oskar Kokoschka des années 1906 à 1976.

  • Oksar Kokoschka – Souvenirs de voyages

    Vevey, Musée Jenisch
    16 juin 1992 – 27 septembre 1992

    L’exposition a montré des croquis et carnets d’esquisses remplis de dessins réalisés lors de ses nombreux voyages.